D’où vient le nom du quartier Soupetard ? Origine espagnole ? Relié à une sombre histoire de croquemitaine ? Datant de 1814 de la bataille de wellington où l’on était « sous les pétards »? Et la ferme de Soupetard dans tout ça ? Faisons le point.

Ça bouillonne à Soupetard un projet porté par l’Agence Intercalaire et Résonance Sonore, réalisé par Café and Co, Philae, les habitants habitantes du quartier toulousain de Soupetard accompagné de Flora Beillouin, Mathias Guilbaud et Agnès Gontier, en partenariat avec Le May et son dispositif A mi chemin avec le soutien de la Drac Occitanie, la Mairie de Toulouse et ICF habitat.

La semaine, c’est un parking, le samedi matin, c’est la place du marché ! La transformation est bien là permettant aux habitants de se retrouver autour d’une multitude de producteurs. Benjamin nous en dit plus sur cet espace devenu central dans le quartier.

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Le quartier Soupetard est en pleine mutation, de nombreuses constructions sont en cours changeant profondément l’identité du quartier de plus en plus urbaine et densifiée. Avec les habitants et les acteurs du quartier, nous partageons nous impressions sur cette mutation en cours.

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Du collège Jolimont au lycée professionnel Stéphane Hessel, les élèves ou anciens élèves du quartier partagent leur expérience de leurs établissements scolaires et leur vision du quartier dans lequel ils sont implantés. Moments de souvenirs et échanges, assis sur un banc devant l’entrée, avant d’attendre la reprise des cours.

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Pour une immersion singulière du son en 3D, l’écoute au casque est conseillée. Des enfants du quartier se sont inspiré du livre  » Notre, Est Lointain » de Sébastien Ménard pour écrire des poésies en découpant des mots. Un atelier d’enregistrement de ses poésies en binaural (son 3D) a été réalisé avec l’équipe de Café and Co et Philae accompagné par Flora, Mathias et Agnès. Enfin Mathieu a réalisé une nouvelle poésie via l’ensemble des enregistrements et a rajouté des sons pour vous plonger dans une ambiance singulière. Une poésie collective est née !

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Véritable poumon du quartier et zone tampon avec le périphérique toulousain, le parc des Argoulets permet l’accès aux habitant-e-s à des terrains de sport mais aussi aux jeux pour les enfants et des chemins de balade. Nous partageons avec les habitant-e-s et et les acteurs du quartier, nos impressions autour des graffs et des sonorités ambiantes: l’espace verdoyant contraste avec le ronronnement incessant de la rocade.

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Jeunes et anciens se racontent leurs souvenirs de la cité Pelleport, dans laquelle ils ont vécu. Souvenirs croisés, la nostalgie est là, quand ils savent que les bâtiments vont être détruits. C’est une page de vie qui se tourne, un lieu de vie qui se transforme. Les jeunes ont par la création d’un film « 55 rue de Pelleport » en quelque sorte digéré l’annonce de la destruction du lieu, en le mettant en scène, leur permettant de se retrouver entre amis. Les anciens encore présents se rappellent leur arrivée à l’ouverture de la cité, dans un quartier bien différent à l’époque. Une période en transition, dans l’attente, où les derniers locataires se posent encore beaucoup de question sur leurs futurs logements et donc leur nouveau cadre de vie. Ce qui est sûr, c’est que malgré tout, les liens tissaient à Pelleport resteront.

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Les nouveaux jeux du quartier font fureur. Derrière l’école de Soupetard et à côté de la médiathèque, ce parc est un véritable point de rencontres. Souvenirs nostalgiques de l’enfance, des heures passaient ici, description des nouveaux jeux qu’on aurait voulu avoir étant enfant !

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