
Bagatelle : «Y’a rien à dire », Abdelillah
Abdelillah habite dans le quartier de Bagatelle à Toulouse depuis 30 ans. Il nous livre son attachement au quartier, son histoire de migration qui retrace celle de beaucoup d’Algériens de Mostaganem. Le quartier, il l’a vu se transformer. Une rénovation … Lire la suite
Abdelillah habite dans le quartier de Bagatelle à Toulouse depuis 30 ans. Il nous livre son attachement au quartier, son histoire de migration qui retrace celle de beaucoup d’Algériens de Mostaganem. Le quartier, il l’a vu se transformer. Une rénovation urbaine avec ses destructions d’immeubles qu’il a vécue difficilement et dont il ne souhaite pas parler.
Il nous partage à demi-mot les regrets d’une jeunesse en errance avant d’intégrer la Régie de Quartier Desbals Services. Il est fier de ses deux aînés, l’une est médecin et l’autre travaille à l’OPAC. Pas d’inquiétude pour eux, mais beaucoup pour les jeunes de Bagatelle touchés par le chômage.
Paroles de la réalisatrice Sonore – Agnès Gontier
« Je sens qu’Abdelillah veut montrer le meilleur de son quartier. Il reproche aux médias de le stigmatiser, de montrer que le mauvais. En prenant le contre-pied, il me fait une visite guidée édulcorolorée de Bagatelle. Puis petit à petit, il finit par me livrer les difficultés dont le quartier doit aussi surmonter notamment autour de l’emploi des jeunes. »
Paroles de Marie-Christine Jaillet – Directrice de recherche au CNRS, Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST), Université de Toulouse
Abdelillah raconte une autre facette de l’histoire des quartiers populaires, qui ont accueilli à partir du milieu des années 1970 les immigrés et leurs familles, venus, pour beaucoup, des pays du Maghreb, puis venus également d’autres horizons. Le quartier de Bagatelle a souvent été décrit par ses habitants comme un village avec son centre commercial, sa place, son petit bois, ses associations, sportive et de quartier, où les habitants (pieds noirs, algériens ou marocains) partageaient une même nostalgie pour l’autre rive de la Méditerranée. Mais l’histoire de Bagatelle, c’est aussi celle d’une politique publique de rénovation urbaine qui a voulu ouvrir le quartier sur une autre centralité, celle de la rue Henri Desbals, et qui a remplacé les « vieux immeubles » par d’autres, au risque de bouleverser les repères de ceux qui vivaient là, pour qui cette transformation assez radicale de leur environnement a souvent été douloureuse. Il n’en est pas de même pour les habitants venus s’installer plus récemment qui ne portent pas en héritage cette histoire.
Ce que raconte aussi Abdelillah, c’est l’espoir placé dans le « modèle républicain » que chacun peut s’en sortir, améliorer sa situation et, bien davantage encore, que, par l’école, celle de ses enfants s’améliorera vraiment. Si « l’ascenseur social » n’est pas tout à fait à l’arrêt, néanmoins, il est de plus en plus à la peine pour les générations actuelles, confrontées au chômage et aux discriminations.
« Les habitant-e-s se la racontent ! » : un projet porté par la Régie de Quartier Desbals Services et l’association Résonance Sonore Lauréates de l’appel à projet : « Mémoires des quartiers, histoires en mouvement » lancé par Toulouse Métropole – Exposition visuelle et sonore à la Bibliothèque Saint-Exupéry à Bagatelle du 4 avril au 9 mai 2023.

Faourette: « A l’époque, c’était moderne », Marius et Lucette
Marius était pendant longtemps président de la Régie de Quartier Desbal Services. Il a toujours été impliqué dans son quartier de la Faourette à Toulouse que se soit auprès des locataires, ou à la Régie. C’est quelqu’un qui faisait référence, … Lire la suite
Marius était pendant longtemps président de la Régie de Quartier Desbal Services. Il a toujours été impliqué dans son quartier de la Faourette à Toulouse que se soit auprès des locataires, ou à la Régie. C’est quelqu’un qui faisait référence, qu’on venait voir si on avait besoin d’aide. Avec Alice, sa femme, ils nous racontent leur arrivée dans le quartier. L’emménagement, ici, c’était à l’époque plus de confort, du chauffage central. Plus besoin d’aller chercher le charbon à la cave ou de chauffer le lit avec un moine. Seul grand regret l’insonorisation de l’immeuble inexistant.
Paroles de la réalisatrice Sonore – Agnès Gontier
Ils m’ont touchés, Marius et Lucie, 91 et 92 ans. J’ai aimé le contraste des deux personnages et la complicité qui se dégage entre eux. L’une se dit pantouflarde, l’autre pigeon voyageur. Ils sont simples, chaleureux, attentionnés. Lucie est authentique, ses expressions sont si spontanées, qu’elle m’a fait sourire. J’ai aimé les écouter, échanger avec eux, plonger dans leur quotidien de couple.
Paroles de Marie-Christine Jaillet – Directrice de recherche au CNRS, Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST), Université de Toulouse
On oublie trop souvent ce que rappelle si bien Marius et Lucie : entrer dans un logement HLM, dans les années 1960, c’était accéder pour la première fois aux éléments de confort : un appartement lumineux avec des pièces séparées, l’eau courante, le chauffage central, une salle de bains … Mais, comme il fallait répondre à une crise du logement sans précédent, on a construit vite et en masse, souvent trop vite. Nombre de ces immeubles ont mal vieilli ou ont été, au moins dans les années qui ont suivi leur construction, insuffisamment entretenus. Si le logement était meilleur, ces grandes cités HLM étaient alors loin du centre-ville, en périphérie de la ville, pas toujours bien desservies par les transports en commun et il y manquait ce qui fait aussi la ville : des commerces, des bars, des services… Si, depuis, l’équipement des quartiers comme leur desserte se sont largement améliorés, ils ne sont pas encore pour autant tout à fait des quartiers urbains comme les autres.
Mais ce que raconte aussi Marius et Lucie, c’est l’histoire de ces habitants qui se sont investis dans la vie de leur quartier, par la création d’associations pour répondre aux besoins des gens, leur apporter de l’aide, des services, mais aussi pour organiser la vie sociale, proposer des activités, des animations et des moments festifs. Car, ce qui caractérise ces quartiers, c’est bien la vitalité de leur tissu social, la capacité de leurs habitants, plus qu’ailleurs dans la ville, à s’entraider, à faire preuve de solidarité, face aux drames auxquels chacun peut être confronté dans sa vie personnelle, comme dans les moments difficiles qu’ont traversés ces quartiers, l’explosion d’AZF, le confinement, etc. Ils la doivent à l’énergie infatigable de ces militants du quotidien. Pour prendre le relai de ceux qui se sont un peu épuisés à la tâche, une relève est toujours là.
« Les habitant-e-s se la racontent ! » : un projet porté par la Régie de Quartier Desbals Services et l’association Résonance Sonore Lauréates de l’appel à projet : « Mémoires des quartiers, histoires en mouvement » lancé par Toulouse Métropole – Exposition visuelle et sonore à la Bibliothèque Saint-Exupéry à Bagatelle du 4 avril au 9 mai 2023.

Le tri sera top !
Comment revaloriser nos déchets? Nous sommes allés rencontrer l’association étudiante : Le Tri Sera Top, créée en 2017 dans le quartier du Mirail à Toulouse. Elle anime un atelier d’auto-réparation vélo, une friperie et un espace brocante. L’association a pour mission la réduction générale des déchets. … Lire la suite
Comment revaloriser nos déchets? Nous sommes allés rencontrer l’association étudiante : Le Tri Sera Top, créée en 2017 dans le quartier du Mirail à Toulouse. Elle anime un atelier d’auto-réparation vélo, une friperie et un espace brocante. L’association a pour mission la réduction générale des déchets. Elle les collecte, les trie et les revalorise. Quels enjeux pour revaloriser les déchets reçus? Est-il possible de réutiliser tout ce que nous jetons? Quels sont les moyens nécessaires pour accomplir la mission que l’association s’est proposée?

Mouss et Hakim, héritiers de l’immigration
Quel est l’héritage de l’immigration en France ? En février dernier, à la bibliothèque Saint-Exupéry à Toulouse, le Tactikollectif organisait une rencontre avec les chanteurs et musiciens issus du groupe Zebda autour du film « Mouss et Hakim, origines contrôlées ! ». Cette … Lire la suite
Quel est l’héritage de l’immigration en France ? En février dernier, à la bibliothèque Saint-Exupéry à Toulouse, le Tactikollectif organisait une rencontre avec les chanteurs et musiciens issus du groupe Zebda autour du film « Mouss et Hakim, origines contrôlées ! ». Cette rencontre a été l’occasion à travers le film et des échanges de retracer leur histoire familiale de l’exil et leur héritage culturel dans leurs chansons.
Cet événement s’inscrivait dans le cadre de l’exposition « Portraits de France » à Toulouse, mettant en valeur des personnes venues d’ailleurs, souvent oubliées. A cette occasion, j’ai rencontré Salah Amokrane, coordinateur du Tactikollectif, et frère de Mouss et Hakim. Ce podcast s’interroge sur la place de l’héritage culturel de l’immigration et l’appropriation collective de l’espace public.
Les expositions Portraits de France et Portraits de Toulouse sont visibles au réfectoire et à la chapelle de l’hôpital de la Grave jusqu’au 2 avril 2023

Fairéco en famille
Quels petits gestes pouvons-nous adopter pour être plus écologiques ? Fairéco, association toulousaine, propose des ateliers pour apprendre à chacun.e des petits gestes aux grandes conséquences écologiques. Depuis 2020, l’association propose des « défis familles ». Un suivi sur 6 mois qui se constitue … Lire la suite
Quels petits gestes pouvons-nous adopter pour être plus écologiques ?
Fairéco, association toulousaine, propose des ateliers pour apprendre à chacun.e des petits gestes aux grandes conséquences écologiques. Depuis 2020, l’association propose des « défis familles ». Un suivi sur 6 mois qui se constitue d’échanges et d’ateliers autour de différentes thématiques allant des produits ménagers à notre alimentation. Une manière d’agir pour l’écologie, à la portée de tous.tes.
Ecoutons un de ces ateliers animé par Cédric et Mélanie de Fairéco.
Fairéco n’organise pas exclusivement des défis famille! Plus d’infos sur leur site. Contact: contact@faireco-asso.fr

Paris 2024 (1/3): « Dans la tête des athlètes, au coeur d’un pôle de performance »
Dans un an, les Jeux Olympiques vont s’ouvrir à Paris. Raihau Maiau, athlète en saut en longueur, Lezana Placette et Alexia Richard joueuses de Beach Volley espèrent y participer. Ils se surpassent au quotidien pour y parvenir. Nous entrons, avec … Lire la suite
Dans un an, les Jeux Olympiques vont s’ouvrir à Paris. Raihau Maiau, athlète en saut en longueur, Lezana Placette et Alexia Richard joueuses de Beach Volley espèrent y participer. Ils se surpassent au quotidien pour y parvenir. Nous entrons, avec eux, dans les coulisses du sport de haut niveau et rencontrons ses différents acteurs : coach, professionnels de santé, accompagnatrice scientifique…tous sont mobilisés pour un seul objectif : la performance.
Ce documentaire sonore dévoile comment les centres d’entraînements français aident à «sculpter» l’athlète comme celui du Creps de Toulouse. Nous analyserons la co-construction de la performance battant en brèche le mythe de l’athlète solitaire.
Avec la participation de Raihau Maiau, athlète spécialiste en saut en longueur – Lezana Placette et Alexia Richard, beach volleyeuses – Muriel Roth, directrice du Creps de Toulouse – Olivier Janzac, responsable de la Maison Régionale de la Haute Performance -Marine Gargagli, accompagnatrice de la performance au Creps de Toulouse – Dominique Hernandez, cadre technique en athlétisme – Véronique Morin, infirmière au Creps de Toulouse – Caroline Tricot, dietéticienne – Thomas Menet Haure, kinésithérapeute du sport et podologue – Benjamin Mounos, stagiaire en psychologie – Thomas , préparateur physique au Creps de Toulouse –Lucie Forte, sociologue au laboratoire CRESCO de l’Université Paul Sabatier
Avec le soutien de la DRAC Occitanie projet labellisé OLYMPIADE CULTURELLE – PARIS 2024

Bagat’elles Bike
Comment apprennent-elles à faire du vélo ? Mamans, grands-mères se mettent pour la première fois en selle !Médiaptichounes est une association du quartier de Bagatelle à Toulouse. Depuis 2005, l’association propose des ateliers autour du sport et de ses valeurs … Lire la suite
Comment apprennent-elles à faire du vélo ? Mamans, grands-mères se mettent pour la première fois en selle !
Médiaptichounes est une association du quartier de Bagatelle à Toulouse. Depuis 2005, l’association propose des ateliers autour du sport et de ses valeurs ainsi que de l’éducation aux médias. Hayet, ancienne médiaptichounes est maintenant présidente de l’association. Elle nous raconte la création et le projet de la section Baga’elles bike qui permet aux femmes de s’initier au vélo.

Dans les creux de nos histoires
Comment se transmettent nos histoires migratoires ? À Marseille, des jeunes s’interrogent sur leurs ancrages et sur les creux de leurs origines.Une pièce documentaire réalisée au cours du processus de création du film, « Amira ». Des questionnements sous-jacents au court-métrage ont … Lire la suite
Comment se transmettent nos histoires migratoires ? À Marseille, des jeunes s’interrogent sur leurs ancrages et sur les creux de leurs origines.
Une pièce documentaire réalisée au cours du processus de création du film, « Amira ». Des questionnements sous-jacents au court-métrage ont pu être partagés et explorés grâce à ces rencontres précieuses et révélatrices.
Avec Anahid Ceyhan, Zarah Igo, Kahina Djahnine, Daria Pouligo, Aïdé Pouligo et Romain Ghafar.

Les yeux fermés
A l’occasion des 20 ans du LMAC, Laboratoire des Médiations en Art Contemporain, j’ai été invitée, comme artiste sonore, à découvrir sous bandeau, c’est-à-dire les yeux fermés une oeuvre d’art de l’espace public à Toulouse. Dans ma proposition artistique, j’ai … Lire la suite
A l’occasion des 20 ans du LMAC, Laboratoire des Médiations en Art Contemporain, j’ai été invitée, comme artiste sonore, à découvrir sous bandeau, c’est-à-dire les yeux fermés une oeuvre d’art de l’espace public à Toulouse.
Dans ma proposition artistique, j’ai décidé d’avoir une démarche symétrique. J’allais découvrir une oeuvre les yeux fermés, j’ai donc décidé de ne pas écouter ce que j’enregistrerai lors de ma prise de son. J’ai laissé ainsi la surprise de la matière se révéler au dérushage, comme une pellicule photo argentique au développement. J’ai ensuite joué avec les sons et les espaces.
Je suis heureuse de vous proposer à l’écoute l’exploration sonore de cette rencontre originale de l’oeuvre. De la même manière pour entrer mieux dans ce voyage binaural (son 3D), je vous propose de mettre votre casque et de fermer les yeux pour écouter cette pièce.
Le son binaural est un procédé d’enregistrement sonore en 3 dimensions utilisant soit une tête d’enregistrement soit la tête de la personne qui enregistre en plaçant dans ses oreilles des microphones. L’écoute au casque est essentielle pour avoir le rendu en 3 dimensions.

Empalot : L’AIFOMEJ fête ses 40 ans !
Présente depuis 40 ans à Empalot, l’AIFOMEJ est une association historique et essentielle dans ce quartier toulousain. Face à des problématiques sociales, culturelles, professionnelles, l’AIFOMEJ s’adapte et tente d’apporter son soutien aux personnes confrontées à des difficultés. Pendant ces longues années, … Lire la suite
Présente depuis 40 ans à Empalot, l’AIFOMEJ est une association historique et essentielle dans ce quartier toulousain. Face à des problématiques sociales, culturelles, professionnelles, l’AIFOMEJ s’adapte et tente d’apporter son soutien aux personnes confrontées à des difficultés. Pendant ces longues années, elle a aussi vu le quartier évoluer, se transformer et elle a aussi vu grandir des générations d’enfants. L’occasion, donc, pour cet anniversaire, de réaliser un épisode sur cette initiative, d’en refaire son histoire et de constater sa force et son ancrage.
AIFOMEJ : Association pour l’Insertion des Familles Originaires du Monde et des Jeunes

Ne pas toucher à Bambi (4/4)
Après les hérissons, passons à un autre mammifère: le faon ! Nous explorons dans ce dernier épisode consacré au pôle médiation faune sauvage, leurs fonctionnements ainsi que l’attitude à avoir avec eux. C’est également l’occasion d’évoquer d’autres mammifères et de ce … Lire la suite
Après les hérissons, passons à un autre mammifère: le faon !
Nous explorons dans ce dernier épisode consacré au pôle médiation faune sauvage, leurs fonctionnements ainsi que l’attitude à avoir avec eux. C’est également l’occasion d’évoquer d’autres mammifères et de ce qu’est une bonne cohabitation avec la faune sauvage en général.
Pour les soutenir en faisant un don : https://nature-en-occitanie.assoconnect.com/collect/description/232443-o-pole-mediation-faune-sauvage-2022

Intercalaire valorise les espaces vacants!
Dans la ville, les projets se succèdent les bâtiments sont parfois vacants longtemps en attente de leur nouvel usage ou de destruction, rapidement, ces lieux peuvent devenir tristes, dégradés voire source d’insécurité. L’Agence intercalaire, s’immisce dans cet entretemps et valorise … Lire la suite
Dans la ville, les projets se succèdent les bâtiments sont parfois vacants longtemps en attente de leur nouvel usage ou de destruction, rapidement, ces lieux peuvent devenir tristes, dégradés voire source d’insécurité. L’Agence intercalaire, s’immisce dans cet entretemps et valorise ces espaces inoccupés. Comment ? Elle impulse une dynamique vertueuse en proposant notamment un usage collectif des lieux, en donnant l’accès à moindre coût aux structures ou entrepreneurs n’ayant pas le luxe de pouvoir s’offrir un espace de travail sur le marché immobilier traditionnel ou en recherche tout simplement de lien social.
Dans ce podcast, Résonance Sonore visite le collectif Abbal, situé dans le quartier de la Reynerie à Toulouse, avec Pacale Dubois de l’Agence Intercalaire. Cet endroit est voué à destruction pour faire place à la future Cité de la Danse, mais entretemps, le lieu vie de la plus belle des manières.

Un hérisson dans mon jardin (3/4)
Dans ce troisième épisode, nous parlons d’un mammifère très répandu : le hérisson ! Souvent retrouvé en détresse, Ynès et Ambre du pôle médiation faune sauvage nous explique comment les aider et mieux cohabiter avec eux. Pour les soutenir en faisant un … Lire la suite
Dans ce troisième épisode, nous parlons d’un mammifère très répandu : le hérisson ! Souvent retrouvé en détresse, Ynès et Ambre du pôle médiation faune sauvage nous explique comment les aider et mieux cohabiter avec eux.
Pour les soutenir en faisant un don : https://nature-en-occitanie.assoconnect.com/collect/description/232443-o-pole-mediation-faune-sauvage-2022

Volley : Emilie Respaut, passeuse de l’équipe de France
Emilie Respaut est passeuse de l’équipe de France de Volley. Une équipe féminine qui est en pleine ascension avec la victoire historique de la Golden League Européenne en juin dernier. Pour Emilie, être au poste de passeuse, à seulement 19 … Lire la suite
Emilie Respaut est passeuse de l’équipe de France de Volley. Une équipe féminine qui est en pleine ascension avec la victoire historique de la Golden League Européenne en juin dernier. Pour Emilie, être au poste de passeuse, à seulement 19 ans, relève d’une vraie prouesse dans ce sport collectif à maturité tardive. Il faut dire qu’avec des parents volleyeurs professionnels, elle est née dedans et surtout a su y grandir !
Dans ce podcast Emilie Respaut se livre sur sa passion. Après quatre années au CREPS de Toulouse, elle revient sur son expérience au sein du pôle France Féminin de Volley. Pour cette rentrée, elle prend un nouveau départ avec son intégration dans l’équipe professionnelle « Les Neptunes de Nantes« . Elle vise évidemment les Jeux Olympiques 2024 et s’y prépare activement.
Réalisation: Agnès Gontier – Mixage: Sofia Riboloff – Photo: Michaël Toffolo

Les Daronnes
Une association pour l’égalité des genres et pour les mères comment cela se construit? Les Daronnes, association créée par Mélanie (Alias Mamelle Bent) organise des soirées mettant en avant des artistes sexisés de la scène musicale toulousaine. C’est aussi une … Lire la suite
Une association pour l’égalité des genres et pour les mères comment cela se construit? Les Daronnes, association créée par Mélanie (Alias Mamelle Bent) organise des soirées mettant en avant des artistes sexisés de la scène musicale toulousaine. C’est aussi une association qui tend à permettre aux « Daronnes », aux mères, d’accéder à la Culture plus facilement.
D’où est partie cette idée ? Quelles valeurs prônent-elles ? Qu’est-ce qu’une personne sexisée dans le milieu culturel toulousain ? Nous le découvrons dans ce podcast.

Les serpents faut-il en avoir peur ? (2/4)
Retrouvons Ynès et Ambre du pôle médiation faune sauvage pour nous parler des serpents dans ce deuxième épisode de notre série sur les espèces de la faune sauvage !Si ce sont des espèces redoutées, il est tout à fait possible de … Lire la suite
Retrouvons Ynès et Ambre du pôle médiation faune sauvage pour nous parler des serpents dans ce deuxième épisode de notre série sur les espèces de la faune sauvage !
Si ce sont des espèces redoutées, il est tout à fait possible de cohabiter avec eux et nous découvrons pourquoi et comment dans cette chronique.
Pour les soutenir en faisant un don : https://nature-en-occitanie.assoconnect.com/collect/description/232443-o-pole-mediation-faune-sauvage-2022

Petit à petit l’oiseau fait son nid (1/4)
Comment faire quand un oiseau tombe de son nid ? Dans ce premier épisode d’une série de 4 chroniques autour des espèces présentes dans nos jardins et nos habitations, nous nous attardons sur les oiseaux et le comportement à avoir avec … Lire la suite
Comment faire quand un oiseau tombe de son nid ? Dans ce premier épisode d’une série de 4 chroniques autour des espèces présentes dans nos jardins et nos habitations, nous nous attardons sur les oiseaux et le comportement à avoir avec eux. Qu’ils se blessent ou qu’ils rentrent chez vous, Ynès et Ambre du pôle médiation faune sauvage de Nature en Occitanie peuvent vous renseigner et vous aider à adopter le meilleur comportement.
Le pôle médiation faune sauvage de Nature en Occitanie est un pôle de sensibilisation autour de la faune sauvage proposant des permanences et des actions pour une meilleure cohabitation humains-nature.
Pour les soutenir en faisant un don : https://nature-en-occitanie.assoconnect.com/collect/description/232443-o-pole-mediation-faune-sauvage-2022

Rapper sans se cacher
Léa et Zéta sont deux toulousaines qui ont comme point commun l’amour du rap. Toutes les deux sont d’abord parties de l’écriture d’un journal intime avant de rapper. Comment ont-elles franchi le pas de prendre le micro et monter sur scène ? Ce … Lire la suite
Léa et Zéta sont deux toulousaines qui ont comme point commun l’amour du rap. Toutes les deux sont d’abord parties de l’écriture d’un journal intime avant de rapper. Comment ont-elles franchi le pas de prendre le micro et monter sur scène ? Ce podcast vous emmène à la rencontre de deux personnalités de la scène toulousaine.

L’écologie, ça vous parle ?
Où en sommes-nous de l’écologie à l’échelle de nos quartiers ? Le samedi 23 juillet a eu lieu une journée centrée sur l’alimentation et la transition écologique dans le petit bois de Bagatelle, à Toulouse. Cela a été l’occasion d’aller rencontrer certaines … Lire la suite
Où en sommes-nous de l’écologie à l’échelle de nos quartiers ?
Le samedi 23 juillet a eu lieu une journée centrée sur l’alimentation et la transition écologique dans le petit bois de Bagatelle, à Toulouse. Cela a été l’occasion d’aller rencontrer certaines des initiatives présentes. Que représente l’écologie pour les habitant.es? Quelles démarches individuelles sont possibles pour impulser une dynamique écologique plus globale?
Cette journée était organisée par le collectif BaFaPaTaBor en transition.
Merci à celles et ceux ayant prêté leurs voix.

Fêtes de quartier
C’est l’été, les vacances commencent et les fêtes de quartier avec ! De nombreuses animations sont prévues à la croisée des parcs du petit bois de Bagatelle, au parc de La Faourette et des Merlettes à Toulouse. À cette occasion, … Lire la suite
C’est l’été, les vacances commencent et les fêtes de quartier avec ! De nombreuses animations sont prévues à la croisée des parcs du petit bois de Bagatelle, au parc de La Faourette et des Merlettes à Toulouse. À cette occasion, nous nous sommes rendus à l’inauguration des festivités et nous avons rencontré des habitant.es et des acteurs et actrices de ces moments clefs de la vie de quartier. Nous partageons dans ce podcast, les souvenirs de fêtes, leurs évolutions à travers le temps, et l’importance de ces moments pour les habitant.es.
Paroles des réalisateur.ices – Mathias Guilbaud et Agnès Gontier :
Au fil des souvenirs des habitant.es, nous ressentons l’importance des fêtes des quartiers. Elles rythment l’année, les quotidiens, et animent l’espace public. Moments festifs des quartiers, ils permettent de s’évader, de se rencontrer et de créer des souvenirs communs. Une véritable respiration pour les familles, les enfants qui ne partent pas en vacances.
Paroles de Marie-Christine Jaillet – Directrice de recherche au CNRS, Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST), Université de Toulouse
Fête de quartier, fête des voisins, festival… qui rythment la vie des quartiers, construisent des souvenirs communs, des émotions et des joies qu’on se racontera plus tard… Comme dans toute communauté de vie, qu’elle soit à l’échelle d’un quartier urbain, d’une cité ou d’un village, ce sont ces moments festifs qui autorisent le brassage, permettent de dépasser les tensions, les clivages, la fragmentation sociale. Se retrouver ensemble, jeunes ou vieux, filles ou garçons, adultes, enfants ou adolescents, pour être dehors, regarder un spectacle, écouter un concert, partager un repas, des activités, des jeux, des découvertes, profiter du temps qui passe… Autant de bulles d’allégresse comme des parenthèses heureuses pour oublier les difficultés du quotidien, réinvestir l’espace public sans crainte, renouer avec le sens du collectif. Une fête, ce n’est pas seulement le moment où elle advient, c’est aussi les jours d’avant où on la prépare et où l’on s’y prépare, chacun mobilisant toute son énergie pour qu’elle soit réussie, et c’est aussi les jours d’après, quand on se remémore les bons moments, les surprises, quand persistent les relations qui s’y sont ébauchées, quand se poursuivent les rencontres qu’on n’attendait plus… Quelques mois, un an à patienter, espérer, pour que la fête revienne…
« Les habitant-e-s se la racontent ! » : un projet porté par la Régie de Quartier Desbals Services et l’association Résonance Sonore Lauréates de l’appel à projet : « Mémoires des quartiers, histoires en mouvement » lancé par Toulouse Métropole – Exposition visuelle et sonore à la Bibliothèque Saint-Exupéry à Bagatelle du 4 avril au 9 mai 2023.